La sœur Kolping Cristina Vanegas Carrillo de Chuquisaca/Bolivie a participé à la rencontre continentale du processus synodal
C’est un long chemin sur lequel le pape François a engagé l’Eglise en 2021. Toutes les paroisses, diocèses et associations du monde entier doivent se concerter pour savoir à quoi doit ressembler l’Église de demain afin de répondre davantage à l’appel de Jésus. Dans une première phase, les églises locales de différents pays ont délibéré et ont donné leur avis au Vatican. KOLPING INTERNATIONAL a également participé à ce processus et a envoyé un texte à Rome. Sur la base de ces réactions, le secrétariat du synode a ensuite rédigé un document avec lequel des assemblées synodales ont été organisées au niveau des continents. Cristina Vanegas Carrillo de Chuquisaca de Kolping Bolivie a participé à la rencontre pour l’Amérique latine en Équateur.
“L’un des thèmes qui m’a profondément touchée en tant que femme baptisée et engagée est que ce processus synodal aborde la situation des femmes et tente de reconnaître davantage le rôle actif que nous jouons dans le domaine social et ecclésial. Oui, il est possible de relire le rôle actuel des femmes et de remettre en question les conditions et les structures actuelles de l’Église en ce qui concerne les femmes de notre temps”, écrit Cristina dans son rapport après la rencontre.
Partout dans le monde, les sœurs et les frères Kolping luttent dans des assemblées synodales pour une Eglise dans laquelle tous les hommes répondent volontiers à l’appel de Jésus. Il va de soi que Kolping apporte à l’avenir de l’Eglise son expérience de 170 ans d’histoire de l’association, marquée par l’égalité des droits, la démocratie, l’égalité et la participation. Kolping continuera également à accompagner les prochaines assemblées jusqu’en 2024 à Rome.
